• Avortements en France : les gamines en raffolent.

    Dans une société de perdition, où les diffusions télévisuelles sont de plus en plus abrutissantes et l'internet accessible à tous toujours plus riche en contenu moralement répréhensible, on constate des comportements alarmants dans l'ensemble de la population, et notamment chez les jeunes. 

    C'est ainsi que l'on observe qu'une lycéenne Française sur 16 a déjà avorté (1/10 en région Parisienne), et que 20% des lycéennes ont eu recours à une contraception en urgence. A cela plusieurs causes peuvent être, par simple bon sens, identifiées :

    - les parents sont de plus en plus laxistes et eux mêmes mal éduqués, donnant trop de libertés à leur enfant dès son plus jeune âge, sous des prétextes divers et variés allant du culte de "l'enfant-roi" à la complaisance envers l'absence de vertu,

    - le manque d'éducation religieuse qui rend toute moralité relative et qui ne permet pas d'établir des règles strictes quant à la bonne conduite de tout un chacun pour son bien ou celui de la société, 

    - l'hypersexualisation de cette société délétère, qui véhicule un message de libération sexuelle, de culte de la pornographie et des moeurs légères, qui place l'acte de copulation au firmament des raisons de vivre, et qui bombarde les citoyens d'images toujours plus obscènes et vicieuses, 

    - le mythe véhiculé de la libération de la femme occidentale par l'apparence et la dépravation. Si le burkini, vêtement de bain pour les plus pudiques, est considéré comme un symbole d'obscurantisme et de soumission, la nudité, la salacité et le libertinage sont souhaités et considérés comme des instruments d'émancipation. Ainsi, nous pourrions dire, sans l'ombre d'un doute, que cette société opère un viol moral des filles dès leur plus jeune âge, leur vendant la sexualité comme un moyen de s'affirmer, 

    - l'individualisme et l'immanence totale d'une société qui a pour slogan "je fais ce que je veux de mon corps", sans égard pour la vie, sans avoir à penser aux conséquences de ses actes, car, de toutes manières, tout est "réparable" par le bistouri.

    Evidemment, les chantres de la mauvaise foi et de la lâcheté ne cesseront de répéter à qui veut l'entendre, que le problème viendrait d'un manque d'usage de contraceptifs, cela ne faisant que cacher les problèmes fondamentaux soulevés plus haut.

    Cette statistique alarmante, relayée par le journal Le Figaro, a fait beaucoup moins de bruit que le port du foulard... Et pour cause : en France, le fait de copuler comme des rats et d'ôter la vie au fruit de l'union est encensé, mais le fait de se cacher les cheveux est un drame. L'impureté désirable, et la chasteté scandaleuse. Le vice est souhaitable, et la vertu condamnable. Cette inversion totale des valeurs religieuses ne peut qu'inciter à croire en l'existence du diable. 


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